Chapitre 4
Le jeudi vers treize heures mon cellulaire sonnait dans mon sac-à-main.
Je ne répondais pas. J’étais sur l’ordinateur en train de décrire les enjeux qui me poussaient vers le Canada. Ce n’était pas simplement à cause du malin candidat rempli d’haine. Sans les électeurs il ne possède zéro pouvoir. Rien. Donc j’en veux aux électeurs qui le soutiennent. Ils sont tous ou stupides ou totalement sans moralité. Peut-être tous les deux.
Il n’y a pas d’autre moyen de regarder la situation. Est-ce que je veux partager la territoire avec eux ? Vraiment non. Et si on donne la pouvoir au Donald, mon Dieu ! Si je reste ici dans des telles conditions, ca serait à cause d’être trop paresseuse d’agir. Ca aussi, il n’y a pas d’autre moyen de juger.
Le téléphone sur le mur sonnait. Je soupirais, poussais « sauf-gardez » et me levais. Peut-être c’était Alice, notre interne, au bureau. Je l’ai instruis d’appeler Christine, mais Christine pouvait se trouver dans un atelier.
« Allo. Ici Cécile. »
C’était la maitresse du lycée ou se passait une performance des jeunes. C’était une performance à laquelle un de nos employés devait assister et donner des commentaires.
Pendant qu’elle paniquait je l’a dis d’attendre un moment. Je faisais contact avec mon bureau sur l’ordinateur. Je regardais l’horaire ou je voyais que l’autre interne, Marie Jeanne, devait faire ce boulot. C’est le moins fiable de tous mes employés. Elle est jolie, talentueuse et super désorganisée.
« Laissez-moi contacter notre représentent, » je disais. Mais ca ne marchait pas. Je n’obtenais que la machine avec le message trop gai.
« Ca commence a quelle heure? » je demandais à l’autre.
« Dans quinze minutes. »
« Zut ! »
« Je peux le délayer à quatorze heures » elle offert.
« Bon. Faites-le. »
« Et qui viendra sur votre compte ?
« Moi, » je répliquais. « Moi. »
J’avais à peine le temps de me doucher. Je mettais une robe noire simple, et je sortais de la maison. Est-ce qu’il y avait de l’essence ? Ces choses, je ne les souviens jamais. Oui, il y avait assai d’essence. Je conduisais très vite en espèrent ne pas rencontrer aucun policier, soit il chauve ou bien coiffé.
La force était avec moi et j’arrivais juste avant l’heure.
Ils ont choisi une pièce qui s’appelle « Blind Date » écrite par Horton Foote. Nous avons préparé une liste de pièces approuvées. Les clubs drame ont le choix entre notre liste, une pièce originale, ou un autre œuvre approuvé en avance. Cette règle j’avais adopté avec quelques regrets majeurs – je n’aime pas qu’on limite la créativité - mais c’était obligatoire.
Oh, qu’il y avait des gros problèmes dans ma première année! On jurait trop dans le dialogue, on encourageait la prostitution aux adolescents. Véritablement, tout le monde a son avis sur la moralité des pièces qu’on met en scène, même ceux qui n’assissent jamais aux performances.
Cette pièce « Blind Date » elle est charmante. Je l’ai vu assez souvent mais pas récemment. C’est une tante avec des grandes ambitions pour sa nièce qui reste avec elle pendant les vacances. Mais la nièce est intellectuelle, timide, pas du tout une débutante.
Les efforts de la tante sont vraiment drôles. Cette actrice s’avantageait de tout les blagues et la nièce aussi. . Soudainement j’ai trouvé un pêché énorme parce qu'une femme jouait le rôle de la tante. La maitresse de l’école me regardait. Elle savait que je deviendrais inquiète.
« C’est une élève, » elle m’assurait. « Elle est bonne, n’est-ce pas ? »
Elle était excellente, vraiment. J’oubliais le problème en regardant la pièce. On sentait vraiment l’époque plus simple du passé. On ne jure pas dans cette pièce. Elle est à propos pour toute la famille. Mais les marches tentatives des adolescents normales, ici on chante la réalité immutable.
Ce n’étais qu’après que j’apprenais que la nièce - qui s’appelle Sarah Nancy dans la pièce - est la vraie fille de la tante. Oh, c’est une belle histoire.
La jeune actrice s’appelle Lisa. Lisa était prête à quitter l’école il y a quelques mois. Quand la mère objectait, Lisa disait, « Maman, tu a quitté l’école au même âge que moi. » Et puis la mère disait, « Tu as raison, Lisa. Mais si tu ne quitte pas l’école, je finirai avec. » Et elle s’était inscrite dans le lycée à coté de sa fille. Elles vont matriculer ensemble.
Je félicitais les deux actrices après la discussion de la performance. La fierté qu’elles sentaient, on pouvait l'enjouir profondément. Il n’y a rien comme le théâtre pour joindre les forces opposées vers une seule cible.
Mois aussi, je sens la fierté concernant la compétition des jeunes artistes que je dirige depuis si longtemps. Nous ne somme pas encore finis, il y a ce dernier tour. Il faut le savourer.
Et le théâtre ? Il va durer jusqu’au bout du dernier jour que vivent les êtres humains.
Le jeudi vers treize heures mon cellulaire sonnait dans mon sac-à-main.
Je ne répondais pas. J’étais sur l’ordinateur en train de décrire les enjeux qui me poussaient vers le Canada. Ce n’était pas simplement à cause du malin candidat rempli d’haine. Sans les électeurs il ne possède zéro pouvoir. Rien. Donc j’en veux aux électeurs qui le soutiennent. Ils sont tous ou stupides ou totalement sans moralité. Peut-être tous les deux.
Il n’y a pas d’autre moyen de regarder la situation. Est-ce que je veux partager la territoire avec eux ? Vraiment non. Et si on donne la pouvoir au Donald, mon Dieu ! Si je reste ici dans des telles conditions, ca serait à cause d’être trop paresseuse d’agir. Ca aussi, il n’y a pas d’autre moyen de juger.
Le téléphone sur le mur sonnait. Je soupirais, poussais « sauf-gardez » et me levais. Peut-être c’était Alice, notre interne, au bureau. Je l’ai instruis d’appeler Christine, mais Christine pouvait se trouver dans un atelier.
« Allo. Ici Cécile. »
C’était la maitresse du lycée ou se passait une performance des jeunes. C’était une performance à laquelle un de nos employés devait assister et donner des commentaires.
Pendant qu’elle paniquait je l’a dis d’attendre un moment. Je faisais contact avec mon bureau sur l’ordinateur. Je regardais l’horaire ou je voyais que l’autre interne, Marie Jeanne, devait faire ce boulot. C’est le moins fiable de tous mes employés. Elle est jolie, talentueuse et super désorganisée.
« Laissez-moi contacter notre représentent, » je disais. Mais ca ne marchait pas. Je n’obtenais que la machine avec le message trop gai.
« Ca commence a quelle heure? » je demandais à l’autre.
« Dans quinze minutes. »
« Zut ! »
« Je peux le délayer à quatorze heures » elle offert.
« Bon. Faites-le. »
« Et qui viendra sur votre compte ?
« Moi, » je répliquais. « Moi. »
J’avais à peine le temps de me doucher. Je mettais une robe noire simple, et je sortais de la maison. Est-ce qu’il y avait de l’essence ? Ces choses, je ne les souviens jamais. Oui, il y avait assai d’essence. Je conduisais très vite en espèrent ne pas rencontrer aucun policier, soit il chauve ou bien coiffé.
La force était avec moi et j’arrivais juste avant l’heure.
Ils ont choisi une pièce qui s’appelle « Blind Date » écrite par Horton Foote. Nous avons préparé une liste de pièces approuvées. Les clubs drame ont le choix entre notre liste, une pièce originale, ou un autre œuvre approuvé en avance. Cette règle j’avais adopté avec quelques regrets majeurs – je n’aime pas qu’on limite la créativité - mais c’était obligatoire.
Oh, qu’il y avait des gros problèmes dans ma première année! On jurait trop dans le dialogue, on encourageait la prostitution aux adolescents. Véritablement, tout le monde a son avis sur la moralité des pièces qu’on met en scène, même ceux qui n’assissent jamais aux performances.
Cette pièce « Blind Date » elle est charmante. Je l’ai vu assez souvent mais pas récemment. C’est une tante avec des grandes ambitions pour sa nièce qui reste avec elle pendant les vacances. Mais la nièce est intellectuelle, timide, pas du tout une débutante.
Les efforts de la tante sont vraiment drôles. Cette actrice s’avantageait de tout les blagues et la nièce aussi. . Soudainement j’ai trouvé un pêché énorme parce qu'une femme jouait le rôle de la tante. La maitresse de l’école me regardait. Elle savait que je deviendrais inquiète.
« C’est une élève, » elle m’assurait. « Elle est bonne, n’est-ce pas ? »
Elle était excellente, vraiment. J’oubliais le problème en regardant la pièce. On sentait vraiment l’époque plus simple du passé. On ne jure pas dans cette pièce. Elle est à propos pour toute la famille. Mais les marches tentatives des adolescents normales, ici on chante la réalité immutable.
Ce n’étais qu’après que j’apprenais que la nièce - qui s’appelle Sarah Nancy dans la pièce - est la vraie fille de la tante. Oh, c’est une belle histoire.
La jeune actrice s’appelle Lisa. Lisa était prête à quitter l’école il y a quelques mois. Quand la mère objectait, Lisa disait, « Maman, tu a quitté l’école au même âge que moi. » Et puis la mère disait, « Tu as raison, Lisa. Mais si tu ne quitte pas l’école, je finirai avec. » Et elle s’était inscrite dans le lycée à coté de sa fille. Elles vont matriculer ensemble.
Je félicitais les deux actrices après la discussion de la performance. La fierté qu’elles sentaient, on pouvait l'enjouir profondément. Il n’y a rien comme le théâtre pour joindre les forces opposées vers une seule cible.
Mois aussi, je sens la fierté concernant la compétition des jeunes artistes que je dirige depuis si longtemps. Nous ne somme pas encore finis, il y a ce dernier tour. Il faut le savourer.
Et le théâtre ? Il va durer jusqu’au bout du dernier jour que vivent les êtres humains.