Laura K Emack    Dramatic Writing & French Translation
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CHAPITRE 4 (Trouvez les chapitres precedents en bas.)

7/29/2016

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Chapitre 4

Le jeudi vers treize heures mon cellulaire sonnait dans mon sac-à-main.

Je ne répondais pas. J’étais sur l’ordinateur en train de décrire les enjeux qui me poussaient vers le Canada. Ce n’était pas simplement à cause du malin candidat rempli d’haine. Sans les électeurs il ne possède zéro pouvoir. Rien. Donc j’en veux aux électeurs qui le soutiennent. Ils sont tous ou stupides ou totalement sans moralité. Peut-être tous les deux.

Il n’y a pas d’autre moyen de regarder la situation. Est-ce que je veux partager la territoire avec eux ? Vraiment non. Et si on donne la pouvoir au Donald, mon Dieu ! Si je reste ici dans des telles conditions, ca serait à cause d’être trop paresseuse d’agir. Ca aussi, il n’y a pas d’autre moyen de juger.

Le téléphone sur le mur sonnait. Je soupirais, poussais « sauf-gardez » et me levais. Peut-être c’était Alice, notre interne, au bureau. Je l’ai instruis d’appeler Christine, mais Christine pouvait se trouver dans un atelier. 

« Allo. Ici Cécile. »

C’était la maitresse du lycée ou se passait une performance des jeunes. C’était une performance à laquelle un de nos employés devait assister et donner des commentaires.

Pendant qu’elle paniquait je l’a dis d’attendre un moment. Je faisais contact avec mon bureau sur l’ordinateur. Je regardais l’horaire ou je voyais que l’autre interne, Marie Jeanne, devait faire ce boulot. C’est le moins fiable de tous mes employés. Elle est jolie, talentueuse et super désorganisée.

« Laissez-moi contacter notre représentent, » je disais. Mais ca ne marchait pas. Je n’obtenais que la machine avec le message trop gai.

« Ca commence a quelle heure? » je demandais à l’autre.

« Dans quinze minutes. »

« Zut ! »

« Je peux le délayer à quatorze heures » elle offert.

« Bon. Faites-le. »

« Et qui viendra sur votre compte ?

 « Moi, » je répliquais. « Moi. »

J’avais à peine le temps de me doucher. Je mettais une robe noire simple, et je sortais de la maison. Est-ce qu’il y avait de l’essence ? Ces choses, je ne les souviens jamais. Oui, il y avait assai d’essence. Je conduisais très vite en espèrent ne pas rencontrer aucun policier, soit il chauve ou bien coiffé.

La force était avec moi et j’arrivais juste avant l’heure.

Ils ont choisi une pièce qui s’appelle « Blind Date » écrite par Horton Foote. Nous avons préparé une liste de pièces approuvées. Les clubs drame ont le choix entre notre liste, une pièce originale, ou un autre œuvre approuvé en avance. Cette règle j’avais adopté avec quelques regrets majeurs – je n’aime pas qu’on limite la créativité -  mais c’était obligatoire.

Oh, qu’il y avait des gros problèmes dans ma première année! On jurait trop dans le dialogue, on encourageait la prostitution aux adolescents. Véritablement, tout le monde a son avis sur la moralité des pièces qu’on met en scène, même ceux qui n’assissent jamais aux performances.

Cette pièce « Blind Date » elle est charmante. Je l’ai vu assez souvent mais pas récemment. C’est une tante avec des grandes ambitions pour sa nièce qui reste avec elle pendant les vacances. Mais la nièce est intellectuelle, timide, pas du tout une débutante.

Les efforts de la tante sont vraiment drôles. Cette actrice s’avantageait de tout les blagues et la nièce aussi. .  Soudainement j’ai trouvé un pêché énorme parce qu'une femme jouait le rôle de la tante. La maitresse de l’école me regardait. Elle savait que je deviendrais inquiète.

« C’est une élève, » elle m’assurait. « Elle est bonne, n’est-ce pas ? »

Elle était excellente, vraiment. J’oubliais le problème en regardant la pièce. On sentait vraiment l’époque plus simple du passé. On ne jure pas dans cette pièce. Elle est à propos pour toute la famille. Mais les marches tentatives des adolescents normales, ici on chante la réalité immutable.

Ce n’étais qu’après que j’apprenais que la nièce - qui s’appelle Sarah Nancy dans la pièce - est la vraie fille de la tante. Oh, c’est une belle histoire.

La jeune actrice s’appelle Lisa. Lisa était prête à quitter l’école il y a quelques mois. Quand la mère objectait, Lisa disait, « Maman, tu a quitté l’école au même âge que moi. » Et puis la mère disait, « Tu as raison, Lisa. Mais si tu ne quitte pas l’école, je finirai avec. » Et elle s’était inscrite dans le lycée à coté de sa fille. Elles vont matriculer ensemble.

Je félicitais les deux actrices après la discussion de la performance. La fierté qu’elles sentaient, on pouvait l'enjouir profondément. Il n’y a rien comme le théâtre pour joindre les forces opposées vers une seule cible.

Mois aussi, je sens la fierté concernant la compétition des jeunes artistes que je dirige depuis si longtemps. Nous ne somme pas encore finis, il y a ce dernier tour.  Il faut le savourer.

Et le théâtre ? Il va durer jusqu’au bout du dernier jour que vivent les êtres humains.

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CHAPITRE 3 - (Trouvez Chapitre 1 et 2 en bas.)

7/25/2016

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Chapitre 3
 
Quel cauchemar ! Vite, vite, let détails s’envolent. Ce qui reste c’est la panique. Pourquoi ? Car j’ai perdu mon passeport. Où ca ? Sur le train, le mauvais train. Ca roulait dans l’Allemagne au lieu du Canada. Un policier m’approchait. Il était chauve, sa casquette à la main, sa bouche grande ouverte. Mon passeport !

« Stop ! » je me commandais. « C’est une rêve, Cécile. »

Je mettais les drapes à côté. J’étais couverte de sueur. Je me levé et je suis allé vers mon bureau où l’ordinateur respirait d’un rythme beaucoup plus régulier que moi. Sans m’assoir je regardais les titres sur le site de CNN.

« Merde ! » J’hurlé  à l’univers. car il y avait un nouveau sondage qui disait que Trump s’est mis en tête. Ce diable ce menteur ce clown ne doit être soutenu de personne. Personne ! Et les Russes ont volé des courriels. Rien n’est privé non plus, rien, mais on n’apprend pas cette leçon.

J’ai peur qu’elle va perdre. Qu’est-ce que je ferais donc ? Si je ne gagne pas ce boulot au Canada …

Je comprenais pour la première fois combien j’avais – non  j’ai - envie de réussir. Je sens le gros besoin d’obtenir cette position. La compétition que j’ai dirigée depuis quinze ans, elle s’envole comme la saison. On le regrette le départ du printemps, le fin de l’été, mais c’est la vie. N’est-ce pas ? On ne pense pas à garder septembre comme de l’argent dans une banque. 

J’allais chercher mon passeport, il me calmait de le trouver dans sa propre place au petit tiroir dans le couloir. Il fallait vérifier la date d’expiration. Bon, c’était onze mois plus tard. Il faut le renouveler quand-même, je pensais. Un passeport américain est très valable. Il se peut que sous Trump il sera plus difficile d’aller outre-mer. Impossible ? Sous lui, rien n’est impossible.

Et les Bernie partisans, allez à l’enfer aussi. Vous faites des huées chaque fois qu’on dit le nom Hillary Clinton. Elle est notre candidat, elle est servant du public, elle est être humain a qui ont doit la courtoisie simple. Animaux ils sont, le résidu du «Occupy » mouvement, y compris les plus paresseux de nos jeunes. Qui somme nous, les américains du futur ?

Traitresse, c’est moi, en pensant à quitter à jamais mon pays. Est-ce différent pour moi parce que je nuis née en Belgique ? Je suis citoyen États-Unis à cause de mon père. Il contait toujours y retourner, Mais son projet de recherche à l’université durait plus long qu’on avait planifié, et dix ans passaient. Cependant j’étais excellente éleve à l’école du bois de la cambre.

Mon père insistait que nous parlions l’anglais à la maison (Maman et moi, nous ne suivions pas toujours ce règle absent lui.) Mais grâce à lui je n’étais pas tout-a-fait perdue quand on m’a laissé tomber dans l’école en Amérique. Je lisait l’anglais aussi bien que je le parlait. J’étais vraiment bilingue à l’époque. Actuellement ? Il faut amplifier la réalité un peu pour dire que je suis vraiment bilingue. Mais tous les mots, tous les mémoires existent au fond de mon esprit. N’est-ce pas ?

J’ai une semaine à les faire sortir, sept jours me préparer pour l’interview. Ce n’est plus une blague chasser ce boulot canadien. J’ai beaucoup de travail à faire. Pendant mon déjeuner avec la prof, mes paroles étaient souvent hésitantes, mes phrases maladroites. Le pire était que je ne pouvais pas trouver quelques mots super simples, come « descendre » et « pelouse ». La prof aussi, elle avait des pannes sur les mots français.

« C’est la retraite, » elle disait tristement. « On perd l’habituel sans savoir. »

« Il y a la table, » je répondais.

« Il y a la table. »

Malheureusement, la table ne se joint pas cette semaine. Je suis seul avec mon grand défi. Je vais faire mon possible utilisant les mêmes tactiques qui m’ont servi tellement bien il y a quatre ans. Oui, c’est ca, le bon plan.

Je regarderai TV 5 Monde sans cesse. Je lirais en français à haute vois. Je vais repasser sur tous les règles de grammaire. Et aussi je vais tricher un peu. Il y a des questions qu’on peut bien anticiper. On ne me regarderait pas pendant l’interview. Je vais écrire mes réponses an avance, et je peux faire beaucoup de répétitions comme si je préparais un monologue.

Les bonnes réponses, je peux les absolument perfectionner.

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ATTENTION! Il faut lire Chapitre 1 d'abord.

7/24/2016

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Chapitre 2

« Pas mal, » disait la prof en me rendant les pages de mon premier chapitre. Nous étions assises dans un petit café charmant qui venait de s’ouvrir au centre ville.  « J’espère qu’on va réussir ici » elle continuait. « Je trouve que le café est excellent. »

« Je suis d’accord, » je répliquais, « sur les deux comptes. Mais c’est difficile, un café. La majorité des restaurants échoue. »  Est-ce qu’il fallait dire « il est difficile » au lieu de « c’est difficile »? Cette question de grammaire m’embête! J’étais sur le point de demander, mais la prof parlait d’abord.

« Pas du tout mal. Tu écris bien en français. »

« Il y a des fautes ? » je demandais. Ma voix tremblait un peu.
 
« Ah Cecile. Toujours avec les fautes. »
 
« Alors? »
 
« Alors quand ca se passera, ton interview ? »

« Le lundi prochain. Au téléphone. Je leurs ai menti un peu. J’ai dit que je dois voyager cette semaine entière. C’est vrai qu’il y a une réunion importante à Boston, mais j’envois Christine dans ma place. Moi, j’ai besoin de pratiquer parler français. »

C’était en chassant ce but que j’avais invité la prof à déjeuner avec moi. J’insistais que nous parlerions seulement en français. J’ai compté la demander de corriger chaque faute que je ferais sans doute, mais soudainement je comprenais que cette demande serait une faute sociale. Elle est venue me joindre comme amie, pas comme professeur.

« Tu nous manques à table, » elle disait, « depuis combien de temps ? »

« Désolée, » je murmurais en beaucoup sentir l’honte. J’avais vraiment abandonné la table française, ce groupe d’amateurs francophones, qui m’a aidé tellement il y a – je faisais le calcul dans ma tête – quatre années.  Quand je n’avais plus besoin - ou plutôt quand je pensais n’en avoir plus besoin - je suis disparue. Pouf !

« Comment ca marche, la table française ? » je demandais.

« Bien, » elle répondit sans hésitation. « Ca m’étonne, mais il ya toujours des nouveaux-venus. »

« Vraiment désolée, » je répétais.

« Ne t’inquiètes pas, nous sommes sains et saufs, » elle déclarait. « Mais toi. Est-ce vrai cette foi ? On ne va pas trouver les moyens de continuer la compétition? »

« Malheureusement non. Il n’y a pas de – on dit en anglais -  papa sucre. »

Elle riait. Moi aussi je souriais un peu. Nous parlions de l’alarme fausse qui s’est présenté de la même manière qu’au jour d’hui. Nos fonds étaient menacés dans deux des six états de la Nouvelle Angleterre. (Au jour d’hui il y a quatre législatures qui proposent nous abandonner, comprenant Massachusetts.) Nous avons reçu un cadeau énorme d’un individu anonyme. C’était la vraie magie.

 Cependant, j’ai fortement étudié la langue et j’ai reçu la note « avancé » sur l’examen officiel d’interprète. Je me préparais pour un autre métier, heureusement la compétition théâtrale durait encore. Donc je cessais d’assister à la table française. Mon excuse à moi-même était que je voyageais. Parfois mon horaire ne convenait pas, pas toujours.

Et puis je disais « Nous sommes foutus » et les larmes venaient sans invitation. J’employai ma serviette. Ma foi! Quel bébé. « Je suis bébé, » je disais en reniflant. «C’est un peu à cause de ca que je pense à partir avant l’heure. Si ca sera  possible. Pas probable, il faut dire. On va choisir un Canadien.»

« As-tu eu d’autres interviews ? »

« Non. J’envois des résumés. »

« Il y a les bénéfices du chaumage. »

« Vingt-six semaines, » je répondais, « Et puis quoi ? » Je me demandais si ma note sur l’examen orale durait valide après quatre ans.

« Je suis chanceuse, » disait la prof, « parce que je suis retraitée. Quel âge as tu, Cecile ? »

 « Cécile, » je la corrigeais. « J’ai soudainement envie de réclamer l’accent aigu. Quant à ta question, j’ai quarante ans. »

Elle souriait. «Tu as raison. »

« Comment ca ?

« Tu n’est qu’un bébé. »

Notre repas arrivait. Il était délicieux. Nous parlions principalement des politiques. Elle aussi se déchire sur la possibilité d’un président qui s’appelle Trump. Parfois quand je deviens animée la parole coule sans hésitation, sans erreur. Je commence de penser en français exactement comme la fillette de l’époque. Ca aussi fait de la magie dans mon âme.

J’insistais payer l’addition. Elle grognait mais pas longtemps.

« Cécile, » elle m’avertissait quand nous nous séparions dans le stationnement, « Attention à l’accent Québécois. »
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7/23/2016

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Ma Belle Échappée
[Une Conte Sérialisée]
Écrite par Laura Emack
 
Chapitre 1
 
Mon Dieu. Qu’est-ce j’ai fait dérouler ?
 
J’imagine ma grande triomphe pendant ce coup de téléphone qui vient. Plutôt je l’espère. Le boulot en question – probablement je ne l’accepterai pas. Certainement on ne va pas l’offrir. Pourquoi ? Parce que je suis américaine. (Est-ce qu’on doit utiliser l’A majuscule ici ? J’oublie. Il faut la demander à la prof, cette question.)
 
Je n’en veux pas aux canadiens. (Canadiens ?)  Ils sont tous très géniales. Mais j’ai appris il y a longtemps qu’ils ne s’occupent que de leurs siens. Tous les opportunités pour les écrivains – et il y en a beaucoup plus chez eux que chez nous -  sont limitées aux auteurs de Canada. Cet emploi disponible qui paie tellement bien – j’ai rarement rencontré un salaire pareil  - on ne le donnera pas à l’étrangère.
 
Pourtant, l’idée d’échapper ainsi me fascine. Je connais plusieurs américains qui parlent de quitter le pays à cause du Donald. Ils ne sont pas sérieux. Je n’en serai, moi non plus, sauf que je vais perdre mon boulot actuel au bout de trois mois. Il n’y a pas d’argent nous payer, ni moi ni ma petite équipe. Nos législateurs ont décidé qu’il n’est plus important de soutenir le théâtre dans les lycées de la Nouvelle Angleterre.
 
Notre excellente compétition annuelle n’arrivait jamais au niveau de popularité qu’aucun sport. Main elle durait pendant cinquante ans quand même. J’adorais ce concours régional soutenu par les six états. Je l’aime toujours cette dernière tour, mais la tristesse domine. Mon Dieu qu’elle se montre forte ! J’ai envie de pleurer aux moments peu convenants, cependant que c’est moi, Cécile, qui doit diriger nos funérailles.
 
Ou peut-être pas. On peut songer à un autre avenir, n’est-ce pas ? Moi aussi je peux rêver malgré que j’habite la même ville depuis mon jeune enfance. J’avais dix ans quand nous quittions mon pays natal suivant le mort de ma mère. A l’époque nous avons déménagé chez ma belle mère, celle que mon père épousait trop vite à nous situer chez ses proches. Elle était professeur d’histoire aussi ma belle mère, elle faisait le voyage sabbatique en Bruxelles. Mon père était son patron. Il y a des questions qu’une fille ne doit jamais poser.
 
Moi j’ai gardé la même position il y a quinze ans, l’appartement encore plus longtemps. Je la rappelle, ma vrai mère belle, mais pas très clairement. Ce n’est pas exactement la vérité car j’ai beaucoup de petites mémoires précises. Elle brossait mes cheveux longes et en faisait deux plaies. Elle me coudrait une robe bleue aux taches jaunes. Elle faisait des biscuits, et moi je mettais la graisse sur le plateau. Mais son esprit, je ne la connais pas. Hélas! Personne ne peut m’en renseigner non plus.
 
Eh bien je n’ai pas de mari, pas d’enfants, même pas d’animaux. Quand on voyage tellement souvent que moi, il est impossible d’élever un poisson. Après que je déménage au Québec du nord, j’obtiendrai un chien, un husky beau qui va laisser ses poils partout. Nous allons faire la promenade ensemble chaque soir. Je porterais une lampe sur mon front pendant les jours sombres et glacials de l’hiver, lui des petites bottes de laine que j’ai tricoté moi-même.
 
Mon chéri, je le rencontrerais enfin. Ca se passera l’aube d’une journée d’automne que le chien et moi nous prenons le chemin qui suit un ruisseau étincellent.
 
 
 
 
 

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    Je suis le meilleur écrivain dont on n'a jamais entendu parler. Il faut en changer!

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